L’Histoire de CKM :

 

Le COMMANDO KRAV MAGA est né en Israël.
Mélangeant des systèmes de combat différents, les Israéliens sélectionnèrent les techniques les plus efficaces pour les utiliser lors de différents conflits et les firent évoluer vers plusieurs systèmes de combat israéliens tels que le KAPAP, le LOTAR, le HAGANA et le KRAV MAGA.

 

Histoire CKM

 

Un peu partout sur la planète, les gens reconnaissent l’efficacité des arts martiaux israéliens. Actuellement, il existe plusieurs formes d’arts martiaux israéliens, chacun avec un même fil conducteur et la même emphase : la survie et un entraînement basé sur la réalité. Certains sont utilisés comme entraînement de base par l’infanterie israélienne (Krav Maga), pendant que d’autres sont réservés aux unités spéciales (KAPAP, Lotar, etc.).

Dans les années 70, les plus hautes autorités militaires Israélienne demandèrent à MONI AIZIK, membre de l’une des unités commando les plus prestigieuses, d’améliorer les systèmes de combat au corps à corps déjà existants. MONI AIZIK a participé à la guerre de Kippour et fut l’un des six survivants de son unité de 64 hommes, décimée au cours d’une embuscade. A son retour, MONI AIZIK reçu la tache d’enseigner le combat aux unités militaires d’élite de l’armée Israélienne du fait de sa grande expérience dans ce domaine et de sa maîtrise des arts martiaux. Au moyen d’une étude détaillée, d’un entraînement rigoureux et d’un travail de terrain constant, MONI AIZIK perfectionna les techniques de combat pour les rendre plus efficaces.


C’est à cette époque que MONI AIZIK créa le COMMANDO KRAV MAGA. Jusqu’à tout récemment les techniques de ce système étaient exclusivement réservées aux services militaires et aux civiles israéliens. Ces techniques d’origine de combats armées et à mains nus sont offertes pour la première fois aux civiles Américains et Européens. Ce système pourtant très envié est maintenant à porter de tous, sans avoir pout autant à passer des années de services militaires extrêmement exigeants et contraignants.

Le COMMANDO KRAV MAGA est le fruit de l’expérience d’un ancien soldat d’élite et entraîneur de champions d’un niveau olympique. Le COMMANDO KRAV MAGA rassemble toutes les composantes indispensables pour enseigner à quiconque comment survivre à une situation d’agression.

 

 

 

 

La Philosophie de CKM :

 

La philosophie du COMMANDO KRAV MAGA peut être divisée en trois parties :

 

Ethique :

 

Le but du C.K.M. est d’éviter toute forme de conflit. L’utilisation de ses techniques ne se fera qu’en dernier recours.
Le pratiquant de C.K.M. donnera toujours à son agresseur l’opportunité d’arrêter calmement le conflit. Son attitude corporelle devra être non agressive, indiquant qu’il ne veut pas se battre mais son regard déterminé lui indiquera de prendre garde : The body says, “I don’t want to fight”. The eyes say, “watch out”.

Les conflits sont souvent une question d’égo. Les pratiquants de C.K.M. doivent savoir le mettre de côté pour éviter l’affrontement.

Justement parce que chacune des techniques enseignées de C.K.M. est potentiellement mortelle, il est impératif d’apprendre à se maîtriser et de respecter tout être humain.

Ainsi, le principe le plus fondamental de C.K.M. est le suivant :

 » NE PAS UTILISER LA FORCE EN PREMIER » (NO FIRST USE FORCE)

 

Pragmatique :

 

Le deuxième principe de C.K.M. est : « Pendant que tu négocies la paix, prépare-toi pour la guerre » (While negotiating for peace, prepare for war)

Le pratiquant de C.K.M. doit clairement annoncer son intention de ne pas se battre et de vouloir calmer la situation. Il doit l’annoncer oralement et physiquement (en mettant ses bras devant de façon calme et non agressive). Cette attitude, en cas de conflit permettra à d’éventuels témoins de pouvoir voir clairement qui est l’agresseur.


Attention aux limites de la légitime défense : : il est indispensable d’imposer dans les esprits l’idée que les réponses à donner doivent toujours impérativement être proportionnées à la gravité de l’infraction. (Article 122-5 al. 1 du Code Pénal).

 

Dynamique :

 

Les systèmes « statiques » qui revendiquent savoir toutes les réponses sont évidemment fortement suspects. Tous les groupes de recherche et de savoir doivent continuer à se développer en fonction de l’expérience et des nouveaux paramètres ou bien ils deviennent obsolètes. C.K.M. n’est pas différent. C.K.M. sait que les criminels et les terroristes changent continuellement leur tactique. De ce fait, C.K.M. continue à se développer pour aller de pair avec ces nouvelles tactiques et les nouvelles armes de l’ennemi. C’est totalement dynamique.

Le combat dans les rues est totalement imprévisible. Il n’y a aucune règle. Il n’y a aucun arbitre qui l’arrêtera, ou jettera l’éponge. Il n’y a aucun code d’honneur. Le comportement y est déloyal. L’aggresseur pourrait sortir une arme à feu, ou un couteau, ou avoir des complices cachés. Il n’est pas rare que le combat se face à plus de deux contre un.

La Solution du C.K.M. : Intervenez vite mais sauvez vous aussi vite. Affrontez l’ennemi seulement s’il n’y a pas d’autre choix, mais si vous devez le faire alors agissez vite afin de vous échapper avant que ses complices ne viennent à son secours.
Le but est simple : survivre. C’est la réalité de la rue, pas celle du dojo.

 

Parce que Moni et ses instructeurs sont activement impliqués dans l’enseignement des Forces Spéciales d’élite, C.K.M. continue de se développer sans cesse stimulé par les demandes d’un des environnements de combat les plus durs au monde : le Moyen-Orient.
Le troisième principe du C.K.M. est le suivant : « Dans la rue il n’y a pas de règles. Entrainez-vous dans des conditions réelles. » ( In the street there are no rules. Train real. )